TUMBLR ©

Simon Keenan

Bonjour à tous, moi c'est Simon Keenan. Certes, on m'appelle plus communément par mon prénom, ahah et vous en aurez l'occasion si nous devenons intime. J'ai actuellement 26 ans. Ouais, le temps passe, les gens grandissent, c'est trop fou. Me voilà donc à Liberty Avenue, la magnifique. A voir maintenant si je trouverai chaussures à mon pied. D'ailleurs je suis bisexuel si jamais ça intéresse quelqu'un. Quoi ? Le travail ? Oh et bien actuellement je suis disquaire. Le reste du temps je compose des morceaux, je chante dans les bars, je fais du sport, je sors beaucoup et je dois dire que ça m'éclate grave ! Faîtes gaffe par contre, il paraît que je suis plutôt rancunier, caractériel, exécrable une fois énervé et il semblerait que je brise des coeurs sans le vouloir. Heureusement que je me rattrape en étant assez peace and love, sympa, drôle et tout à fait charmant, n'est-ce pas ?. Parfois, dans la rue, on me confond avec Jared Leto, si c'est pas hallucinant ! Vous voulez en savoir plus sur moi hein ? J'ai attisé votre curiosité ? Eh bien allez y, lancez vous dans la lecture de la suite. Hâte de voir ce que vous penserez de moi !

Alors... vous vous demandez bien pourquoi j'ai atterris sur Liberty Avenue hein ? L'histoire est un peu compliquée mais pour résumer... ça fait quelques années maintenant que j'ai découvert ma bisexualité. Ouais, je suis un peu nouveau dans le milieu. Alors bon, quand j'ai commencé à m’intéresser à la gente masculine ont m'a rapidement conseillé de mettre les pieds dans le quartier. Et je vous avoue que ce folklore, l'effervescence de l'avenue, ses personnages hauts en couleurs et ses soirées ont été un véritable coup de foudre. Entre nous il n'y a pas d'endroit où je puisse me sentir aussi bien, en dehors du cocon familiale alors bon... une fois mes études terminées, j'ai bougé le centre ville et les parents pour m'installer à LA même. Autant être au coeur de l'action n'est-ce pas ?

Passons aux choses sérieuses maintenant. Pour vous je m'appellerai May. Mais derrière l'écran, dans la vie de tous les jours, c'est plutôt Madleen. Tu sais où j'ai trouvé le forum ? Tu devineras jamais. MAIS SI ! Grâce à Charlie yeah. D'ailleurs, en parlant du forum, il est parfait n'est-ce pas ? Ouais, on est bien d'accord !. Et tu sais pas quoi ? I don't believe in love. I believe in fuck ! Ouais mon vieux. Ouais. Maintenant écoute bien. Ouvre grand les oreilles : BOUH. Ahah, je sais, ça marche toujours. .

TUMBLR ©

life is life, lalaaaaa lalalaaaaa

Un enfant nommé accident. ▲ Une chose était sûre, Leah et Timothy Keenan n'avaient pas prévu d'avoir un enfant alors qu'ils finissaient à peine leurs études d'avocats et entamaient une carrière. Mais malgré tout il l'avait gardé, parce que tout enfant avait sa chance et tant pis s'ils n'étaient pas prêts. Et il était clair que lorsque le petit Simon arriva aux petites heures du matin du mardi 21 Mars 1986 ils ne l’étaient toujours pas. Mais que faire d’autre à part de son mieux face à la bouille d’ange qu’il était ? Au premier regard ses parents étaient tombés amoureux de lui et savait qu’à partir de là, rien ne pourrait les empêcher d’être les meilleurs parents du monde, parce que Simon le méritait.
Maman, est-ce que je suis différent ? ▲ Et les parents Keenan tinrent leur promesse : ils furent les parents dont tout enfant aurait rêvé. Simon grandit au sein d’une famille pleine d’amour malgré les absences récurrentes de ses parents, dut à leur travail. A la maternel il est le chouchou de ses maîtresses tout comme de ses camarades féminines et il en est de même au primaire bien que des tensions naissent entre lui et d’autres garçons. Pourquoi ? Tout simplement par jalousie. Si Simon devait être décrit en un seul mot, ce dernier serait surement : « Profond », ou « bleu ». On ne peut pas dire qu’il soit beau, il est juste parfait. Et cette perfection il la tient en partie de ses yeux d’un bleu exceptionnel. Il a une bouille d’ange et ça tout le monde le remarque. C’est pourquoi il s’est souvent retrouvé à se battre dans la cours de récrée, parce que si certaine tombaient sous le charme, d’autre n’avait qu’une envie, lui casser la figure. C’est d’ailleurs au cours d’une de ces bagarres que Simon, âgé de huit ans, a découvert qu’il était asthmatique et que ces difficultés respiratoire se manifestaient par angoisse. Il s’était retrouvé à terre au milieu de la cours de récréation, battant un bras dans l’air alors que l’autre enserrait sa poitrine comme si ça pouvait l’aider à respirer. Après un rendez-vous chez le docteur il avait donc comprit son problème et se retrouvait désormais toujours avec une ventoline dans la poche. Aussi, les garçons avaient arrêté de l’embêter pour éviter d’avoir des ennuis, bien que les mauvais regards et les critiques n’avaient pas cessé. Et un jour Simon était rentré chez lui en pleurant, parce qu’il n’en pouvait plus d’être détesté par les autres et sa mère, paniquée, l’avait serré dans ses bras. A ce moment là, il lui avait simplement demandé ; « Maman, est-ce que je suis différent ? ». Et elle avait rit, enlaçant un peu plus son fils. « Non mon ange, tu es juste unique. »
Boom. Boom. Boom. Kaboom. ▲ Quand Simon arriva à un certain âge, toutes les filles évoluant autour de lui furent comme… différentes à ses yeux. Il grandissait et forcément, sa façon de voir les choses aussi. Et ça, c’était tout simplement l’adolescence. C’est pourquoi il s’était naturellement trouvé une petite amie en entrant au collège, qu’il avait finalement quitté parce qu’il la trouvait un peu bête. Puis d’autres étaient venues, se suivant les unes les autres pour la simple et unique raison qu’il ne trouvait pas celle qui lui fallait. Ce fut finalement à l’âge de quinze ans que Simon rencontra une jeune fille digne de ce nom, une adorable perle blonde dont il tomba follement amoureux. Pourtant, tout ne fut pas rose. Si au niveau de sa relation, tout était au beau fixe, il n’en n’était pas de même dans sa tête et encore moins dans son cœur. La raison ? Sur le coup il n’avait su la trouver, si ce n’est peut-être que son corps avait tendance à lui envoyer des messages bizarres lorsqu’il croisait certains garçons, quelques peu plus âgés que lui, dont s’occupait sa mère –spécialisée dans les affaires d’homophobie et la défense de jeunes homosexuels. Et ça, ça constituait déjà un bon indice. Mais à cet âge, était-ce réellement évident dans la tête d’un jeune ? Finalement ce fut lui, ce mec de dix-neuf ans, brun au regard profondément sombre, qui lui retourna la tête. En couple avec sa copine depuis deux ans, il se retrouva à ne plus rien ressentir pour la jeune fille et à passer le plus claire de son temps dans les pattes de sa mère, pour voir ce jeune homme dont elle s’occupait. Bien sûr, le petit jeu de Simon, l’autre l’avait remarqué et il n’hésita pas à passer à jouer à son tour. Simon était déjà si beau en ce temps, le regard toujours plus bleu, le corps déjà bien développé et cet air pur collé à jamais sur son visage. Ouais, il n’avait pas rater l’occasion de lui faire du rentre dedans, au grand damne de Simon qui se retrouva du jour au lendemain avec un vérité pas forcément simple à accepter : il aimait les hommes, lui aussi. Le client de sa mère fut donc le premier garçon dont il tomba amoureux, sans pour autant que leur relation ne dépasse le stade des baisers. Mais ça avait suffit à Simon dont le cœur s’était emballé ; c’était désormais une nouvelle réalité qui s’offrait à lui.
Petit enfant deviendra grand. ▲ Et depuis, Simon a bien grandit. A maintenant vingt-six ans il vient de sortir de l’Université de Pittsburg où il a étudié la musique. Mais sa licence en poche ne le fait pas plus avancer que ça, c’est pourquoi il travail désormais comme simple vendeur dans un petit magasin de disques, sans prétention, sur Liberty Avenue. C’est d’ailleurs là qu’il habite depuis quelques temps, ce quartier gai –et particulièrement gay-, il en est un peu tombé amoureux, parce qu’il s’y sent vraiment bien. Ses parents, connaissant ses tendances sexuelles, l’ont bien comprit, c’est pourquoi ils se sont finalement décidés à lui acheter un appartement dans le quartier. Maintenant, Simon est réellement indépendant mais ça ne l’empêche pas pour autant de passer beaucoup de temps avec sa famille aussi, en particulier sa sœur, une fille extra que ses parents ont adopté lorsqu’il eut atteint l’âge de vingt ans et qui à l'époque, n'avait que seize ans. C'est sa moitié, et bien qu'ils n'aient aucun lien de sang, c'est tout comme. Il rit avec elle, il pleure, il respire, il meurt. C'est le noyau même de son monde à lui.
Il s’assume aussi, non pas entièrement comme gay, mais il se laisse le bénéfice du doute en se disant bi. Mais bon, peut être que vivre sur Liberty fera changer les choses. Changer la donne. Qui sait ?


Entre thèse et antithèse. ▲Olà, comprendre Simon n’est pas chose facile. Si on croit l’avoir cerné en quelques rencontres, on est toujours loin du compte tant il y a d’aspects et de pensées cachés en lui. Tout d’abord, une chose plutôt simple à remarquer : Simon est timide. Il peut se montrer même très timide mais une fois la glace du premier contact brisée, il peut tout aussi bien se montrer comme le plus extraverti des hommes. C’est d’ailleurs ce qu’il est, une vraie boule d’énergie concentrée dans un corps qui peut se montrer sans limite. Il suffit juste de le mettre à l’aise et ça il le sait. Il est derrière ça un jeune homme gentille et attentionné qui aime prendre soin de son entourage et ne recule devant rien quand il s’agit d’aider quelqu’un qui en a besoin. C’est un garçon qui a toujours faim de nouvelles expériences, et qui ne réfléchit pas forcément à deux fois avant d’agir. Il aime l’action, il aime faire la fête, rencontrer de nouvelles têtes et ne dit jamais non quand il s’agit de faire les quatre cent coups et de rigoler. En dehors de quoi, Simon reste tout de même un gars qui sait être sérieux lorsqu’il le faut, même très sérieux.
Handicapé sentimental. ▲ On ne peut pas dire que Simon est très à l’aise avec les relations. C’est même bien le contraire. Il est complètement gauche quand il s’agit d’amour. Et puis d’abord, c’est quoi l’amour au fond ?! Il ne compte plus le nombre de filles qui sont venues le voir, lui avouant être amoureuses sans qu’il puisse répondre à leurs sentiments. Alors non franchement il n’y comprend pas grand-chose à tout ça. Et c’est pire encore quand il s’agit de garçon. Ils restent un vrai mystère pour lui qui ne sait jamais ce qu’il se passe dans leurs têtes. C’est pourquoi il espère que vivre sur Liberty lui fera comprendre les choses et peut-être l’aidera à s’affirmer comme il le faut.
Musicien & éternel rêveur. ▲ Depuis tout petit, Simon est un éternel rêveur. Il a souvent la tête dans les étoiles, a imaginer des choses et d’autres, à rêver d’une autre vie. Une vie où il ferait carrière dans la musique, où il ne ferait que chanter et jouer pour vivre et où il parcourait le monde pour des tournées endiablées. Mais voilà, ce n’est qu’un rêve et percer dans la musique et juste un coup de chance qu’il n’aura jamais. Alors il se contente de jouer seul chez lui, d'aller composer des textes au Scandal'Us où l’ambiance est favorable à son inspiration, à jouer le soir dans les bars de Pittsburg, comme pour combler son absence de célébrité…
Le côté obscur. ▲ Mais derrière son faciès parfait et ses bons côté, Simon est loin d’être parfait. A commencer par le fait qu’il est hyper susceptible. Aussi large d’esprit peut-il être, il a du mal à accepter les critiques, les crasse ou même certains comportement envers sa personne. Et une fois mit en rogne ça peut-être très difficile de le faire changer de pied. Et comme il dit souvent « Pardonner c’est un fait, oublier en est un autre. ». Alors il ne vaut mieux pas se le mettre à dos, sans quoi ça pourrait être regrettable. Ce mauvais côté lui vient de l’éternel enfant qui vit en lui. Parce que c’est ce qu’il est, un grand enfant capable de faire des caprices, bouder et taper du pied quand rien ne va.
Keep the mystery. ▲ En bref Simon est quelqu’un d’intéressant et adorable tout comme il peut-être borné et chiant. Mais sa personnalité cache tant de choses encore qu’il faut apprendre à bien le connaître pour en voir plus du dixième.